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Baise sur Scène

Publié le par itikar

Veuillez noter que ce texte est un récit romancé de prestation pornographique sur scene, il contient des passages interdits aux moins de dix-huit ans susceptibles de heurter la sensibilité des lecteurs.N'hésitez pas à arrêter là votre lecture si ce genre de texte ne vous plait pas.Bonne lecture aux autres.

Nantes.  De nos jours. Un samedi soir banal d’hiver. La ville étudiante sortait machinalement comme chaque semaine …  Comme toutes les grandes villes de France, la préfecture de Loire-Atlantique avait son lot de hot spot, où se retrouvaient invariablement tous les potes citadins du coin : entre les bars à bière du Boufay et les boîtes de nuit bondés de la périphérie, il n’y avait que l’embarras du choix !

 

Et pourtant ce soir là, les lieux habituels étaient partiellement déserts. Etait-ce parce que depuis quelques jours une petite affiche était placardée partout à proximité des zones de sortie pour annoncer La soirée à ne pas louper ? Il était écrit « Ce samedi ! Venez tous et toutes au Zenith d’Atlantis ! Car je m’y produis pour un spectacle à couper le souffle et, notez le bien, interdit aux moins de dix huit ans !!! » juste au dessus d’une photo ayant mis toute la vile en émoi : on y voyait la principale danseuse du lieu, arc bouté en arrière, assise sur ses genoux écartés en V, pénétrée par un énorme godemiché couleur ébène ce qui donnait à son visage une allure en extase … et faisait grogner une minorité de nantais et de nantaises, souvent vieux , conservateurs et enfermés dans leur vie de citadin médiocre. Pendant que ceux-là se disaient entre eux « Mais que fait la police ?!! » , tout le reste de la cité piétinait d’impatience … Arriva le jour J.

 

Heloïse se préparait dans sa loge. L’idée venait d’elle, elle avait dit la semaine passée à sa patronne juste après avoir fait l’amour  avec elle  :  «  Ecoute, je trouve que la fréquentation baisse pas mal en ce moment … Mais j’ai une idée du tonnerre ! Ecoute J »  Elle exposa toute fébrile son idée pendant que sa chef lui enfonçait délicatement et délicieusement sa main dans la chatte, et c’est dans un râle jouissif qu’elle finit par avoir son approbation. Le lendemain, elle demanda à un de ses amants de la prendre en photo pendant qu’elle s’enfonçait son godemiché préféré – le noir qui l’écartait bien le vagin et surtout  l’anus  - et à quelques autres réguliers de l’aider à coller des affiches un peu partout en ville.

Cela s’est passé comme prévu, et même au-delà car en quelques jours la nouvelle s’était propagée comme une trainée de poudre, et elle craignait que le Zenith ne puisse contenir tout le monde.

Bien sûr, cela n’était plus à elle à penser à ça. Elle se concentra sur sa tenue. Elle fit un pas en arrière pour se regarder entièrement dans le grand miroir … Elle y vit une jolie jeune femme de dix neuf ans de presqu’un mètre soixante dix, de cinquante sept petits kilos réparties tous à la perfection,  la peau couleur de pêche toute propre, lisse et luisante suite à la douche bien chaude qu’elle venait de prendre. Elle mit une main délicate sur la pointe d’un sein, dont elle titilla le téton avant de le prendre à pleine main : ils avaient une jolie forme de poire, et étaient très doux au toucher. Le contact excita ses sens, elle écarta donc légèrement les jambes. Son autre main glissa un doigt dans l’orifice de sa chatte, toute épilée comme elle l’aime, fit un va et vient à l’intérieur et constata qu’elle était déjà bien humide.

Toute excitée, elle pensa à ce qu’elle allait faire pour la toute première fois … et certainement pour la toute première fois de tous dans la salle. Bien sûr elle est déjà allé à des salons érotiques, et a vu souvent des filles se masturber sur scène, parfois allant jusqu’à inviter quelqu’un du public à la rejoindre … Mais jamais à ce point. La miss allait se surpasser ce soir là. Et probablement surpasser la terre entière.

Cette pensée la fit  sourire. Les pulsations de son cœur accélérèrent, et sa main quitta son sexe pour se saisir, toute mouillée, d’une bouteille posée sur la table. La belle brune pressa le flacon pour ramasser une noix de crème lubrifiante dans la paume de sa main … Puis, elle l’étala bien autour et à l’intérieur de chacun de ses orifices, afin que les longues pénétrations qu’elle allait subir ne la blessent pas trop.

Ensuite, elle enfila la tenue qu’elle avait choisie exprès pour l’occasion : elle allait recevoir – mmm dans tous les sens du terme – des étudiants, aussi la demoiselle mettait un point d’honneur à assouvir leurs fantasmes cachés. Elle en avait déjà eu un aperçu lors de ses shows de danses sexy qu’elle faisait au Zénith habituellement car elle sentait son public excité tout particulièrement lorsqu’elle mettait certaines tenues. Ce furent de ce fait les longs bas noirs, transparents et brillants qu’elle enfila doucement en tout premier. Puis, elle accrocha un porte-jarretelle rouge vif qui éclatera bien des rétines. Elle ne mettra pas de soutien gorge ce soir, optant plutôt pour une chemise blanche en tulle transparente amplement ballante lui donnant un décolleté on ne peut plus profond. Elle enfila rapidement une jupe toute mini brillante de strass gris star qui ne cachait que la moitie de ses fesses lorsqu’elle se tenait debout. Elle la souleva à peine pour passer un string à dentelles très espacées, puis accrocha un nœud papillon bleue turquoise à son cou pour qu’il se marrie avec le bleu de ses yeux. Sa coiffure consistait en des extensions qu’elle avait méticuleusement tressée. Il ne lui restait plus qu’à se maquiller, son moment préféré,  et elle fit un clin d’œil complice à son miroir.

Lorsqu’elle entra sur scène, sa patronne l’avait un peu briefée : il n’y avait tout simplement pas eu autant de monde ici depuis des éons ! Les videurs avaient même du fermer la porte d’entrée, et c’était une longue et agitée file d’attente penaude qui se dispersait, frustrée, en ce moment même.

Si elle l’avait pu, notre vestale d'Eros serait bien volontiers aller dehors pour consoler certains d’entre eux à sa manière. Mais elle avait d’autres queues à fouetter !

Le public patientait plus ou moins sagement dans la salle, amassé devant la scène pour la plupart, hormis les plus assoiffés qui multipliaient leurs commandes au bar où d’accortes jeunes filles les servaient en tenues rendues bien plus légères en  l’honneur du  grand show XXX qu’Heloise leur avait concocté. Au milieu de la scène, une belle barre en métal argenté étincelait : un néon y avait été glissé à l’intérieur, dont la lueur changeait de couleur au rythme de la musique. Cette barre n’était pas comme toutes les barres, car outre le fait qu’elle se terminait vers 4 mètres de haut par une plateforme au contenu invisible depuis le sol, elle était percée à mi hauteur de deux trous de large diamètre ... Autour du dispositif central, partout sur la scène, il y avait d’autres barres en métal verticales, de formes phalliques et là encore de diamètre et de hauteur très divers. Le tout donnait à la scène une atmosphère lubrique du plus bel effet. Du jamais vu sur sur cette terre et tout le monde se demandait à quoi ou plutôt à qui tout cela allait-il servir ...

Le rideau noir s’ouvrit sur une toute jeune fille bien jolie. Elle s’était maquillée avec beaucoup d’emphase, et dès qu’elle fut face au public, elle ouvrit sa bouche toute ourlée d’une belle quantité de rouge passion pour faire voler un baiser enflammé. Elle portait un short, ou plutôt non, une vraie petite jupe vraiment mini, et fentée de surcroit ce qui laissait sans problème apparaitre le string blanc en dentelle aux yeux de tous les spectateurs, debouts plus bas devant la scène, qui n’en perdaient pas une miette.

La jeune et belle demoiselle sourria de plus belle et commenca à danser : elle ondulait du bassin de manière exotique, doucement tout en caressant le haut de ses jambes de ses mains aux gants transparents longs et noirs comme ses bas. Souvent, elle se penchait pour offrir au premier rang une vue en contre plongée sur sa poitrine opulente, du 95C bien appétissant, et elle put constater en voyant leurs têtes combien elle leur faisait ainsi de l’effet.

« Vous n’avez encore rien vu, mes petits chéris » se minauda t’elle, amusée. « Le show ne fait que commencer ! Yeeeah »

La musique bientôt s’accéléra et notre miss en profita pour retirer d’un geste souple son string : là, les spectateurs n’avaient plus besoin de laisser place à leur imagination pour détailler sa chatte toute lisse déjà humide de tous ses mouvements.  D’autant plus que la danseuse s’arrêta brusquement de danser pour écarter largement les jambes, et montrer ainsi qu’un petit fil sortait de son vagin. Elle fit un clin d’œil à son public, qui lui n’en croyait pas ses yeux, et tira sur le fil pour faire ressortir ses boules de geisha. Elle les engloba dans la bouche pour s’exciter à sucer le goût de sa liqueur intime. Heloïse  se remit à danser, mais cette fois-ci elle parcourut de long en large toute la scène, pour faire halte à chaque piquet-godemiché en métal. D’une petite génuflexion, alors et à chaque fois, elle s’en pénétrait profondément pour faire quelques coquins va et vient délicieux, tantôt par la chatte, tantôt par l’anus. A l’air médusé de son premier rang d’admirateur, elle comprit qu’ils ne s’étaient certainement pas attendus à un show aussi chaud et qu’ils étaient à point pour ce qui allait s’en suivre.

Elle ne passa pas tout de suite à là où elle voulait en venir. D’abord elle escalada la barre fluorescente après avoir longuement dansée sensuellement autour de sa base en se masturbant copieusement de ses doigts ou en se frottant contre elle. Une fois grimpée en haut, elle récupéra sur la petite plateforme deux longs tubes en métal sculptés en forme de bite, et tout en se laissant glisser tête en bas par les pieds vers le bas de la barre, elle stoppa net devant deux orifices placés de manière adéquat. En un tour de main elle clippa chaque tube de métal sur la barre, qui en sortait alors de manière perpendiculaire légèrement oblique pour se faire doublement pénétrée par elles ! Elle s’acharna sous les encouragements du public à se les faire coulisser en elle  totalement alors qu’ils faisaient chacun plus de vingt centimètres de longs et facilement sept de large, puis toujours accrochée par ses bras musclés à mi hauteur, elle fit dessus de furieux va et vients en poussant de longs râles de jouissance tout en regardant le public avec un air de défi sauvage.

Cela dura quelques minutes puis, épuisée, lorsque la musique s’arrêta la jeune performeuse sauta au sol, et fit une révérence …

Les spectateurs comprirent que c’était fini, et ils commencèrent à applaudir le show extraordinaire auquel ils venaient d’assister !

Les applaudissements cessèrent brutalement. En effet, la musique repris, plus grandiloquente, et leur chaude hôtesse retira tout le reste de ses vêtements.

La patronne agrippa toute excitée son micro et s’adressa à la salle : « Attendez ! Le spectacle n’est pas fini ! Il est prévu pour durer toute la nuit, car notre belle Heloïse est insatiable ! Vous ne voudrez quand même pas la laisser dans cet état ??!! Que ceux qui veulent la satisfaire maintenant grimpent derechef sur la scène ! Messieurs, ses orifices vous attendent, et j’espère que vous savez y faire car ce soir, c’est Son soir, et elle est plus qu’affamée !!! »

Il y eut un long murmure dans la pièce … Des centaines de paires d’yeux tantôt se regardaient les uns les autres, incrédules, tantôt se perdaient dans les fantasmes en regardant leur belle qui avait recommencé à s’agenouiller sur les godemichés en métal dressés droits sur la scène, tout en dansant sensuellement et les regardant avec un air de défi licencieux. Elle faisait souvent des appels sensuels de sa bouche, de ses yeux, ou de ses gestes aux spectateurs qui peu à peu se regroupaient  en bas de l’escalier qui menait à la scène …

De mémoire de nantais, il n’y eut jamais un tel spectacle dans notre préfecture !  Petit à petit, domptant leur timidité ou leur désir d’intimité, les plus excités des mâles se présentèrent un à un à la belle. Elle commençait d’abord par les déshabiller chacun à leur tour, entièrement, tout en jouant de ses mains ou de sa bouche sur leurs bourses et leurs sexes. La scène offrait un spectacle irréel : il y avait d’abord un demi cercle d’hommes à poil – demi car il fallait qu’il reste un « trou » pour que les spectateurs moins entreprenants ne perdent miette de ce que faisait la danseuse porno sur scène – puis un autre arc de cercle d’hommes en train de se déshabiller, commençant à se masturber pour se mettre en condition, enfin un troupeau de mecs qui attendaient que viennent leur tour. Et au centre de tout cela, Elle se tenait, chef d’un orchestre de bites, de muscles et de peaux diverses … Elle mettait des dizaines et des dizaines de queues dans sa bouche, et s’arrangeait pour que toujours au moins un de ses trous soit offert à l’un de ses partenaires de soirée ... Elle savait qu'elle offrait à la vue de tous ses spectateurs un spectacle de premier choix : celui d'une jeune fille nue, tantôt debout, tantôt en levrette, tantôt accroupie sur des mandrins, toujours pénétrée de toute part en offrant toute l'étendue de sa concupiscence à leurs yeux Et elle adorait ca … Sa chatte était trempée de sa liqueur, de la salive de  toujours plus de bouches la léchant, et bientôt du sperme qui s’y déversait sans arrêt … Elle sentait son cœur s’alarmer au fur et à mesure que le plaisir d’être ainsi remplie de milles et une sorte de manière la saillissait … Elle jouissait de manière continue, et bientôt tout cessa d’être autour d’elle : elle n’était plus qu’une femme affamée de bites, de pénétration, de ce sperme que les mâles éjaculaient partout sur elle toute la nuit durant …  bringuebalée par des centaines de bras sans âme ni passion. Là où la plupart des filles auraient crié à l’aide, et se seraient senties comme violées de toutes parts, et de partout, elle était aux anges : elle se savait pleinement envieuse d’extrême et ce soir là, enfin, elle a osé devenir ce qu’elle est, osé faire ce qu’elle rêvait de faire depuis longtemps. Habituée à des parties à six ou sept mecs chez elle, elle s’est toujours demandée quelles étaient ses vraies limites, elle qui se sentait trembler d’excitation chaque fois que lui était évoqué les 4 lettres du mot « sexe ».

Maintenant, elle le savait. Elle n’avait aucune limite. Et c’est en souriant, avec un regard aux anges qu’elle épuisa chaque homme venu ce soir là au Zénith pour voir ce dont elle était vraiment capable. Et nul ici présent ne fut déçu ! ... hormis peut-être les plus timides ou les plus voyeurs, tous en tout cas - la jolie demoiselle le savait - envieux de rejoindre le rang de ses partenaires virils et heureux.

Et au petit matin, l'héroine de cette sulfureuse soirée, unique dans toutes les anales, prit congé du dernier de ses amants d’un soir. Epuisée, endolorie de partout le corps, mais toute heureuse, Héloïse était presque rassasiée … du moins pour quelques heures.

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T
<br /> QUE DIRE APRES CE RECIT MEMORABLE. QUE POUR UNE FOIS NANTES A ETE LE CENTRE DU MONDE GRACE A MA SALOPIAUTE D'HELOISE ;) CETTE FILLE DECHIRE TOUT ;) BIZE<br /> <br /> <br />
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I
<br /> C'est clair que Heloise ne manque ni d'atouts ni de desirs !!! Je la trouve assez extraordinaire <br /> <br /> <br />