Alexia7xe

Veuillez noter que ce texte est un récit romancé de tournage pornographique, il contient des passages interdits aux moins de dix-huit ans susceptibles de heurter la sensibilité des lecteurs.N'hésitez pas à arrêter là votre lecture si ce genre de texte ne vous plait pas.Bonne lecture aux autres.

Une jeune fille bondissante entra dans la pièce. En un coup d’œil, elle comprit qu’elle allait se jeter en pâture à sept jeunes hommes, différemment beaux, différemment musclés, différemment membrés.

Alexia entra sans sourire, l’air sérieuse, l’air curieuse, l’air sûre d’elle. Elle se campa devant chaque amateur, pour lui faire une bise et un salut sympathique. Eux sept étaient surtout sidérés ! Ils étaient en face d’une belle  jeune femme de dix neuf ans. Brune, de taille moyenne, elle portait un jean de jeune, un décolleté ravageur et s’était maquillée comme si elle avait peaufinée un rendez-vous avec son petit ami. Mais la petite Alexia les dominait tous : ils étaient sept amateurs en face d’une actrice X professionnelle, et tous le sentait.

Alexia n’avait comme à chaque fois pas le trac : c’était loin d’être la première fois bien sûr, juste la première fois que moi je l’accompagnais en tournage. Je m’étais posté en voyeur discret juste derrière la caméra, aussi je l’entendis discuter son business avec le réalisateur … Elle prenait acte de son nombre de partenaire, du type de performance qui était attendu de sa part, et de tout ce qui se goupillait entre un réal et une actrice juste avant une scène.

A peine le réalisateur cria « On tourne ! », Alexia en un éclair devint un lointain dérivé de son propre personnage : elle revint vers les sept mecs, encore très impressionnés par son aplomb, en tant qu’Alexia, jeune étudiante de droit ayant décidé de se faire un petit gang bang avec sept de ses camarades d’amphithéâtre. Alors, elle se présenta à eux, leur dit combien elle était affamée de sexe, leur fit comprendre combien elle désirait être bien prise et toute remplie de leur semence, et rapidement pris l’initiative de tous les déshabiller et de sortir leurs sept sexes. Ca coulait de source pour elle, son jeu était tellement parfait que j’aurais juré qu’elle était elle-même et pareillement envieuse de tout ces mecs. Je ne su que plus tard que tous n’auraient pas eu d’elle les mêmes faveurs en d’autres circonstances. Logique.
Mais à ce moment, je ne pensais pas à tout cela, je ne pouvais que la contempler en train de sexuellement diriger sept mecs comme un chef gérait son orchestre dans une partition savante. Leurs sept verges toutes firent des aller et retours dans sa bouche, au fond de sa gorge. Rapidement, elle plaçait ses intimes orifices en face de chaque penis prêt à la saillir tout en suçant l’un des six restants. Chacun de ses partenaires pu ainsi la pénétrer goulument. Très concentrée, sans du tout avoir besoin d’être dirigée, elle réagissait par de longs et forts soupirs à chaque pénétration. Dès qu’un des mâles se vidait en elle - dans son préservatif en vraie bien sûr elle ne tourne jamais sans – elle remettait son vagin en position devant le mandrin du suivant.
 
Et ainsi, elle enchaina les positions du jargon : face cam, dos cam, spoon, levrettes … tout y passait, et elle, s’amusait comme une petite folle à parler crûment à ses amants du jour ! « Défonce moi, ouii ! » , « prend moi comme une put… » , « enduis-moi de ton fou… » Tout son répertoire amplificateur d’excitation masculine se déroula, jusqu’au final mouillé : les sept chanceux du jour enduisirent tout son corps de leur sperme, et elle dans un sourire soupirant l’étala sensuellement et uniformément sur sa peau.
La scène s’était finie en apothéose. Alexia était ravie ! Emoustillée, elle n’avait alors qu’une hâte : recommencer ! Mais c’est là une toute autre histoire.